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Ludwig van Beethoven: Symphony No. 2, No. 3 ('Eroica') & No. 7

23404 - Ludwig van Beethoven: Symphony No. 2, No. 3 ('Eroica') & No. 7

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Karl Böhm galt als Autorität in Sachen Mozart- und Strauss-Interpretation. So gerät fast aus dem Blick, was für eine bedeutende Rolle die Musik Beethovens in seiner Biographie und künstlerischen Laufbahn spielte. Vor allem der Fidelio markiert wichtige Stationen seines Lebens: Fidelio war...mehr

"Dieser Beethoven ist einmalig! Dabei wird einem wieder auf Anhieb so richtig bewusst, was eigentlich Beethoven ist und wie seine Musik klingen soll. Wohl dosiert, unkapriziös, aber urgewaltig in Kraft und Aussage. Eine Doppel-CD, die ohne Wenn und Aber das Prädikat 'besonders wertvoll' verdient." (Pizzicato)

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CD 1 von 2 (49:12)

Ludwig van Beethoven Symphony No. 3 in E-flat major, Op. 55 'Eroica' (49:12) Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks | Karl Böhm

Allegro con brio (15:24)
Marcia funebre: Adagio assai (15:20)
Scherzo: Allegro vivace (05:54)
Finale. Allegro molto – Poco Andante – Presto (12:34)

CD 2 von 2 (01:12:13)

Ludwig van Beethoven Symphony No. 2 in D major, Op. 36 (34:17) Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks | Karl Böhm

Adagio molto – Allegro con brio (10:36)
Scherzo. Allegro vivace (03:54)

Ludwig van Beethoven Symphony No. 7 in A major, Op. 92 (37:56) Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks | Karl Böhm

Poco sostenuto – Vivace (12:35)
Presto – Assai meno presto (08:15)
Allegro con brio (07:23)

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Details

Ludwig van Beethoven: Symphony No. 2, No. 3 ('Eroica') & No. 7
Artikelnummer: 23.404
EAN-Code: 4022143234049
Preisgruppe: ACX
Veröffentlichungsdatum: 1. November 2007
Spielzeit: 121 min.

Zusatzmaterial

Informationen

Karl Böhm galt als Autorität in Sachen Mozart- und Strauss-Interpretation. So gerät fast aus dem Blick, was für eine bedeutende Rolle die Musik Beethovens in seiner Biographie und künstlerischen Laufbahn spielte. Vor allem der Fidelio markiert wichtige Stationen seines Lebens: Fidelio war die erste Oper, die Böhm als Kind erlebte, mit ihr feierte er 1920 seinen ersten durchschlagenden Erfolg, mit ihr eröffnete er das Festival zur Wiedereröffnung der Wiener Staatsoper 1954, und sie war das letzte Werk, das der Staatsoperndirektor Böhm 1956 leitete, bevor er, vom Publikum wegen vermeintlicher Vernachlässigung seiner Pflichten ausgepfiffen, zurücktrat. Böhm selber beschrieb Fidelio als „diese schönste aller Opern, die sich am Schluss zu einem Oratorium der Menschlichkeit ausweitet“ und damit eine „ins Jenseitige erhöhende Wirkung“ entfaltet.
Der humanistisch hohe Ton, der am Ende des Fidelio alle Dramatik aufhebt, kennzeichnet auch die vorliegen­den Aufnahmen der Sinfonien Nr. 2, 3 und 7, die Böhm 1973 und 1978 mit dem Sinfonieorchester des Bayerischen Rund­funks einspielte. Sie entstanden nach der Gesamteinspielung zum Beethoven-Jahr 1970, sind also Böhms jüngste Aufnahmen von Beethoven-Sinfonien. Sie überzeugen durch ihre Gelassenheit und Frische, durch den in allen Stimmen sorgfältig modellierten Klang. Beethovensche Kontrastwirkungen werden nicht unterschlagen, sondern kraftvoll aufgefangen. Zugleich zeigt sich Böhms am Musiktheater geschultes Gespür für dramaturgischen Aufbau des Ganzen, das für Lebendigkeit und Schwung der Interpretationen einsteht: Beethovensche Drastik, ins Klassische gewendet.

Die erste Böhm-Veröffentlichung bei audite im April 2007 setzte eine Diskussion über die Rolle Böhms in der Nazi-Diktatur in Gang. Ein Diskussionsforum über diese Thematik finden Sie auf den Seiten von klassik.com: Folgen Sie diesem Link und Sie gelangen direkt zum audite-Forum mit dem Titel "Diskussion über die Rolle Karl Böhms in der Nazi-Diktatur" mit Texten von Rémy Louis und Friedrich Sprondel.

Außerdem gibt es zu dieser Produktionen wieder einen „Producer’s Comment“ vom Produzenten Ludger Böckenhoff.

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Le hasard est parfois espiègle. Ce Beethoven « tardif » et inédit de Karl Böhm (postérieur à l'intégrale DG de 1970-1972), qui clôt l'hommage que lui a consacré Audite, nous parvient juste après le retour de celui de Ferencsik (Hungaroton), et la découverte de la Symphonie n° 7 selon Ivan Fischer (Channel Classics). Lui aussi nous confronte à un Beethoven d'avant la « révolution baroque », surtout il s'inscrit dans une filiation austro-hongroise qui naît le plus naturellement du monde sous la baguette de Böhm – capté ici en concert, une variable qui revêt chez lui une importance particulière. Ses lectures peuvent, hic et nunc, paraître posées, elles n'en restent pas moins vivantes et spontanées. Car si le grand âge a adouci les tempos (Symphonie n° 2), il n'a pas émoussé l'élan intérieur, ni le sens très sûr d'une dramaturgie proprement symphonique. Opiniâtre, la motricité rythmique s'autorise ces relaxations typiques du chef (dans les mouvements lents ou les scherzos). L'articulation est nuancée et précise à la fois, la pulsation vibrante, la ligne impeccable ; loin de céder à une tyrannie instantanéiste, la tension s'installe sur de longues phases, dans lesquelles les savants contrastes s'inscrivent de façon organique. Les différences avec notre Beethoven d'aujourd'hui tiennent donc au fond moins aux tempos (mesurés, mais toujours habités) qu'à une moindre violence, ou sécheresse, des sforzatos et autres accents verticaux.

Plus apollinienne que dionysiaque, la 7e impressionne par la cohérence de ses phrasés (Allegretto). L'accumulation tranquille de la tension lui confère une sorte de puissance hymnique récurrente chez Bôhm dans cette œuvre - même si on peut rêver Allegro con brio plus enlevé. Habitée de l'intérieur dans toutes ses fibres, l'« Eroica » constitue le sommet de cet album. Sa respiration large et maîtrisée l'imprègne d'une superbe grandeur classique (avec la lumière des timbres et la transparence des lignes qui vont de pair). Trop ? Peut-être ! En tout cas, l'Orchestre symphonique de la Radio bavaroise répond au geste du chef avec une plénitude sonore et une générosité sans faille, comme précédemment dans Bruckner.
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Comme dans ses enregistrements «officiels» avec Vienne (intégrale) ou Berlin (Eroica, 1961), Karl Böhm (1894-1981) débarrasse ces partitions des scories que des décennies de médiocres interprétations leur avaient fait supporter. Goût, réserve, finesse et une certaine austérité font des présentes interprétations enregistrées en «live» avec l'Orchestre da la Radio bavaroise des témoignages hautement appréciables. Prêtant autant d'attention au détail qu'à la ligne, Böhm demeure, certes, éloigné de visions plus subjectives (Furtwangler, Toscanini, Erich Kleiber, Walter, Fricsay, Karajan), mais laisse dans la Septième Symphonie parler le texte et la splendeur rythmique de l'orchestre. Sa mise en valeur de l'architecture d'ensemble et sa justesse stylistique sont remarquables.
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Dieser Beethoven ist einmalig! Neben den vielen routinierten und (oft gelungenen und sicherlich gutgemeinten) historischen, modernen und recherchierten Einspielungen tut es richtig gut, wieder einmal einen volltönenden, klassischen Beethoven zu hören. Dabei wird einem wieder auf Anhieb so richtig bewusst, was eigentlich Beethoven ist und wie seine Musik klingen soll.

Böhm war in seinen Studioaufnahmen sicherlich nie ein besonders aufregender Interpret (seine letzte Neunte ist wohl das langweiligste Beethoven-Dokument, das existiert), was er aber hier mit knappem Einsatz fertig bringt, ist direkt sensationell. Böhm lässt die Musik einfach fließen und scheint nichts mehr zu tun, als diesen Fluss in die geeigneten Bahnen zu lenken. Wie ein Lavastrom bahnt sich die Musik ihren Weg, unaufhaltsam und alles mit sich reißend. Das Tempo bleibt dabei moderat, und doch erreicht Böhm Spannungsbögen, deren Geheimnis vor ihm vielleicht nur Furtwängler kannte. Die Entdeckungen sind vielfältig, für mich waren es die wunderbar lyrischen Auslichtungen der langsamen Sätze, Momente des Innenhaltens, Augenblicke größter Intensität.

Ohne Zweifel, dieser Beethoven ist ein glühendes Zeugnis für den Humanismus in der Musik und für die allumspannende Kraft der Melodien. Alle drei Symphonien sind trotz der riesigen Konkurrenz als Referenzaufnahmen zu bezeichnen, aber es ist vielleicht die wenig geliebte Zweite, die es mir am meisten angetan hat. Böhm lässt ihre Musik wie Juwelen aufblitzen, führt uns Melodien vor, die durch ihre Geradlinigkeit faszinieren, er lässt den Noten genug Zeit, um den Hörer zu erreichen. Die Eroica wird zu einem Monument der Menschlichkeit, die Siebte zu einer nachdenklichen Reise vom Dunkel ins Licht. Wohl dosiert, unkapriziös, aber urgewaltig in Kraft und Aussage. Eine Doppel-CD, die ohne Wenn und Aber das Prädikat 'besonders wertvoll' verdient.
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